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Alerte spoiler ! Cette page contient des informations n'étant dévoilées que plus tard dans le jeu. Si vous n'avez pas joué à tous les épisodes disponibles actuellement, lisez cette page avec prudence. |
| “ | Dan est un collectionneur d’art. Il peut devenir un client très important du Cosy Bear Café. Charmeur, sa façon d’agir avec toi peut envoyer des signaux contradictoires. | ” |
Dan Aberny est amateur et collectionneur d'art.
Apparence[]
Personnalité[]
Dan est un homme ambitieux qui a le sens des affaires. Il affectionne en particulier l'art contemporain.
Relations[]
Au fil des épisodes[]
Épisode 3[]
Afin d'aider la Sucrette à se faire des relations, Yael lui présente Dan, un client assez aisé et amateur d'art. La Sucrette ayant quelques difficultés financières, il lui donne quelques conseils pour lui redonner confiance en son entreprise.
Épisode 4[]
Dan propose à Sucrette un rendez-vous au restaurant de la ville pour son sommelier du Martigan’s dans l'optique de travailler avec elle et ainsi remettre le Cosy Bear Café sur les rails. Il commence par lui présenter du Bollinger, un champagne hors de prix avant de lui avouer avoir apprécier son tact et sa passion pour l'art. C'est pourquoi, n'ayant plus de place chez lui pour ses trouvailles, il demande à Sucrette d'exposer les tableaux dans le café pour potentiellement les vendre. Les pieces se compteraient en une dizaine de pièces par mois ce qui équivaudrait à environ cinquante à quatre-vingt mille par lot avec une commission de 25% alors que le taux habituel et de 33%. Il explique avoir choisi ce décalage car elle n'est pas une galeriste confirmée. C'est amplement suffisant car écouler la moitié suffirait à remonter la pente. Il lui propose même des ventes aux enchères avec de courtes expositions, ce qui est parfait car elle peut contacter des commissaires priseurs. Il lui enverra aussi un mailing d’acheteurs potentiels. Il prévoit aussi utiliser son argent pour d'autres projets tandis que Sucrette se rejouit de pouvoir redresser la pente et qu'il ne cherchait qu'une relation strictement professionnelle.
Épisode 5[]
Aux alentours de 17h, Sucrette commence par servir des connaissances de Dan qui la changent un peu en parlant de reventes de sociétés, de l'expo Haring et de Dubai. Parmi eux, un certain Greg convoite "Le songe d’une nuit d’éther" et une Deborah les Von Gothing.
Dan arrive enfin et lance les enchères avec Angie, la commissaire-priseuse. Elle annonce que le pas d’enchères est fixé à 500 tandis que le prix de départ de chaque pièce est de 5 000 et démarre avec "Écaille de tortue", une œuvre hyperréaliste de Natsu B exposée au Metropolitan. Elle est adjugée à 7 000. "Le songe d’une nuit d’éther", convoité par les connaissances de Dan, part à 23 000 et Angie clot les ventes. Après les remerciements de Sucrette, Dan lui a fait les comptes : les enchères totalisent 98 000 soit un peu plus de 24 500 pour elle.
Il rencontre Rayan qu'il reconnait comme l'auteur de l'article sur le tatouage comme nouveau siège de l’expression artistique dans la revue peu connue. Il explique que trouve ainsi les nouveaux artistes mais qu'il n'est pas d'accord avec lui. L'art doit pouvoir s’acheter, s’exposer ce qui n'est pas tout à fait le cas du tatouage mais Rayan lui présente le contre-exemple du Suisse qui a vendu son dos tatoué par un artiste de renom, devant alors trois fois par an en galerie, et léguer sa peau à sa mort pour 150 000 euros. Dan trouve cela triste car une pièce devrait pouvoir s'acheter et se contempler librement. Pour ce ne peut pas être une oeuvre d’Art si elle est accessible en viager et sur un support "un peu glauque", ce que Rayan ne comprend pas au vu du Land Art et des performances mais Dan ne les qualifie que de réclames.
Épisode 6[]
Au rendez-vous avec Sucrette, il affirme être prêt à lancer une nouvelle enchère avec 10 pièces à la vente. Il lui laisse seulement 10 jours pour se préparer, soit 5 jours de moins que le premier, mais elle accepte tout de même. Il révèle avoir besoin d'argent pour de nouveaux projets, alors il doit se séparer de toiles d'Aster. Il préfère également s'en tenir au strict minimum pour la promotion de l'événement avec du mailing et un affichage sur site pour garder une certaine discrétion mais également pour tenir les délais.
Épisode 7[]
Il appelle Sucrette, qui répond au deuxième appel, pour prendre des nouvelles des préparatifs de l'expo.
Épisode 8[]
Dan est plutôt attristé par le départ de 10 pièces de sa collection après le succès des enchères. La dernière vente, “Souvenir aréneux”, est l'une de ses plus anciennes pièces d'Aster. Il avoue toutefois avoir laisser trôner la première dans sa bibliothèque, et reconnaitre à chaque pièce un vie propre. Il félicite Sucrette et lui demande les comptes. Il est ravi pour ses projets d'investissement et part admirer les pièces pour une dernière fois. En terrasse, il débat avec Rayan sur la scénographie car il n'est pas satisfait de la disposition par couleur qui manquerait d'imagination. Il voulait plus d'audace. Il ne comprend pas que Rayan aime beaucoup les BD en tant que prof d'art moderne. Pour lui, cet art n'aura jamais sa place dans un musée à côté d'œuvres intemporelles. Pour lui, les couleurs sont criardes, la BD est un produit de consommation. Quand Rayan rétorque qu'il n'y connait rien, il énonce qu'il est question de la couleur du slip du héros et la taille du décolleté de son faire-valoir. Rayan mentionne l'art pompier alors il le nargue en disant qu'il pourrait échanger chaque jour le plus criard des tableaux de Cabanel contre tous ces dessins. Il n'est pas prêt à considérer que ces super-héros musculeux sont de l'Art. Ce débat est abrégé quand il demande si Sucrette pourrait en exposer avant un appel téléphonique. Dan s'éloigne en justifiant une affaire urgente.
Images[]
Anecdotes[]
Références[]
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